C’est légitime et cela permettra de détecter plus tôt les cancers et de les soigner. Donc un coût amoindri pour la sécurité sociale… pour ceux qui ne raisonnent qu’en termes de coûts. Après tout, les autorités ont permis l’usage du pesticide chlordécone aux Antilles pendant vingt-et-un ans.


Depuis août 2018, nous en sommes à 3 pétitions en ligne en Martinique et en Guadeloupe, plusieurs lettres ouvertes et autres initiatives. Signe que cette question préoccupe les populations martiniquaise et guadeloupéenne.
Ces examens ne peuvent pas être réalisés sur place, et les coûts qui sont à la charge des patients, restent très élevés.