20% des émissions mondiales de gaz à effet de serre d’origine humaine sont causées par la déforestation et la dégradation des forêts.
5,5 tonnes de déchets sont produites par habitant et par an en France.
16 milliards d’euros, c’est l’estimation du coût cumulé des dommages assurés liés aux catastrophes naturelles entre 1988 et 2011 en France selon la Fédération française des sociétés d’assurances. Les inondations en représentent 46%. Il convient de multiplier ce chiffre par deux pour estimer les coûts totaux des dommages comprenant les dommages aux biens non assurés (routes, équipements publics).
L’hydraulique, l’éolien et la biomasse sont les trois principales sources d’énergies renouvelables. Elles représentaient 20,8% de la production mondiale d’électricité en 2012, année où pour la première fois leur part a dépassé le seuil de 20%.
Il faut réduire de 70% les émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2050. Sans cela les populations ne pourront pas s’adapter aux multiplications des catastrophes climatiques (tempêtes, pluies diluviennes, sécheresse).
La concentration atmosphérique moyenne de dioxyde de carbone, principal gaz à effet de serre émis par l’homme, a franchi le seuil des 400 ppm (parties par million) en 2015. Cette concentration était de 270 ppm au 19e siècle, et n’a jamais excédé 300 ppm au cours du dernier million d’années.
L’acidité des océans pourrait atteindre 7,8 de PH en 2100 si l’homme n’arrive pas à réduire ses émissions de CO2. Aujourd’hui à 8,1, le PH est 30% plus acide qu’à l’ère préindustrielle. Rappelons qu’une solution de PH inférieure à 7 est dite acide.
30% de la biodiversité pourrait être perdue d’ici la fin du siècle.
1 mètre : il s’agit de la hausse du niveau des océans attendue en 2100 si leréchauffement climatique se poursuit. Alimenté par la fonte des glaciers comme au Groenland et en Antarctique, le niveau marin a déjà grimpé de 20 centimètres depuis le 19esiècle. 400 millions de personnes vivent à moins d’un mètre au-dessus du niveau des mers. De nombreuses villes parmi lesquelles New York, Miami, Amsterdam, Abidjan, Bombay, Bangkok ou Shanghai sont menacées.
Les pays riches ont promis de mobiliser chaque année 100 milliards de dollars de fonds publics et privés d’ici à 2020 pour permettre aux pays en développement de s’adapter au réchauffement.
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