« Le territoire de la République d’Haïti recèle de très intéressants indices et gisements de substances minérales de grande valeur économique, susceptibles d’ouvrir la voie à une intense activité minière nationale ». Susceptible aussi de créer de la richesse pour son peuple ? De l’emploi, de la santé, de l’éducation ? Mais aussi de la pollution et des bakchichs ?
Peu connu du grand public, pourtant Haïti est un pays riche en ressources naturelles. Certains pensent qu’il ne faut surtout pas développer cette industrie pour des raisons écologiques (c’est étrange car, quand il fallait developper l’occident, l’Amérique, cela ne semblait pas poser les mêmes problèmes). D’autres sont très certainement déjà sur les rangs pour en tirer un bénéfice personnel.
Ce qu’il faut éviter : ne pas transformer les minerais sur place (largement expérimenté en défaveur des pays africains miniers), c’est ce qui rapporte le plus, créé de l’emploi et qui oblige à tenir compte du respect de l’environnement (les étrangers en faisant peu de cas, (ils prennent, pillent et partent) . Haïti trouvera-t-il un partenaire étranger, hors étasunien et canadien, prêt à y investir dans une Haïti considérée comme leur pré carré ? Il se dit que la Chine (premier bailleur de fonds de la Caraïbe) serait sur les rangs…
RP Le COLLECTIFDOM
Claude Prepetit met en évidence le potentiel minier et énergétique d’Haïti citant des ressources telles que l’argile, le carbonate de calcium, le cuivre, le marbre et le pétrole.
Il souligne le manque de garanties d’investissements et de lois appropriées, plaidant pour des réformes visant à attirer les investisseurs.
Les lois existantes, notamment sur les mines et les hydrocarbures, remontent aux années 70 et nécessitent une mise à jour.
Monsieur Prepetit insiste sur la nécessité de continuer les études sur les gisements exprimant son mécontentement face au blocage des investissements miniers depuis 2013.
Il préconise l’intégration de l’exploitation minière dans le débat national, mettant en avant son importance pour le secteur primaire, tout en critiquant l’allocation budgétaire restreinte aux mines. La suite
Présence d’Iridium en Haïti ?
La résistance de l’iridium à la corrosion et aux températures élevées est si extrême qu’il est devenu presque indispensable dans la fabrication des moteurs d’avion, des convertisseurs catalytiques automobiles et des pipelines en eau profonde.
Son utilisation s’est également étendue aux bougies d’allumage, aux appareils médicaux et électroniques, et on le trouve même en quantités infimes dans les montres et les boussoles. Mais il est aussi difficile qu’il est rare.
L’annonce de la découverte du site de Beloc en Haïti a suscité une quantité importante de travaux géologiques qui ont servi depuis à appuyer la théorie de l’impact de la météorite sur la Terre il y a 65 millions d’années. En 2004, le Dr Florentin Maurrasse et al. a publié un article intitulé « Spatial and Temporal variations of the Haitian K/T Boundary record : implications concerning the event or events» sur la couche limite de Beloc dans la revue spécialisée « Journal of Iberian Geology ».. La suite.
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