Ils bossent vite quand ils veulent ! 400 propositions, 600 pages en 48 h !
Que ne se sont-ils manifestés plus tôt… Les CDD arrivent à la fin.
De plus, ce travail est fait en écartant les hommes et femmes politiques de Guyane… La société civile étant aux manettes : c’est dommage car même s’ils ne sont pas exempts de reproches, ils sont les rouages indispensables de la politique française.
A suivre donc…
© AFP Matthias Fekl et Ericka Bareigts vont dévoiler aux collectifs guyanais les propositions du gouvernement
Les collectifs qui mènent la contestation en Guyane attendent des ministres Matthias Fekl et Ericka Bareigts qu’ils prennent position samedi face à leurs nombreuses demandes pour tenter de sortir de bientôt deux semaines de conflit social.
Alors que le cahier de revendications comprend plus de 400 pages remises par une cinquantaine de membres des collectifs appuyés par des élus, les « annonces » seront « nombreuses », a-t-on affirmé dans l’entourage des ministres, avant une rencontre à la préfecture de région à 9H00 (14H00 à Paris). Ces annonces seront à suivre en direct sur le site de Guyane 1ère.
Une « veille ministérielle » a été mise en place à Paris pour « parvenir à des arbitrages » dans un laps de temps réduit, avait indiqué jeudi Matthias Fekl, se montrant optimiste. « Les conditions de la confiance sont là », « il s’est passé quelque chose de fort », avait encore estimé le ministre de l’Intérieur, en référence aux « excuses » adressées par Ericka Bareigts.
« Nous devons absolument être dans le rattrapage » sur les questions de l’électricité, du logement, du foncier, de la richesse ou encore de la jeunesse, selon la ministre des Outre-mer.
L’exécutif a déjà validé un certain nombre de décisions, telle la création d’un Tribunal de grande instance et d’un centre pénitentiaire à Saint-Laurent-du-Maroni, la deuxième ville du territoire. La fidélisation d’un escadron de gendarmes mobiles à Cayenne, et une aide de fonctionnement exceptionnelle de 20 millions d’euros pour l’hôpital de Cayenne ont également été actées.
Si la grande majorité des commerces gardent leur rideau tiré, et les barrages restent plus que jamais d’actualité, entravant fortement la vie économique et sociale, « on a retrouvé une certaine dignité, un supplément d’âme », a analysé Stéphane Lambert, le président du Medef de Guyane, qui soutient le mouvement.
Mickaël Mansé, un porte-parole des « 500 frères contre la délinquance », dont les militants, toujours encagoulés, encadrent le mouvement social, a salué « une leçon d’humilité et de bon sens ». Ericka Bareigts a « blessé le peuple » et a eu « assez de recul pour s’excuser », a-t-il poursuivi.
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