Comme pouvez le lire plus haut, ces deux villes ont décidé d’honorer la mémoire de Clarissa Jean-Philippe et cela, chacune à sa façon :
L’un, le maire de Montrouge a choisi de faire les choses à minima ou plutôt à moitié puisque l’avenue portera les deux noms. L’autre en revanche, le maire de Carrières-sous-Poissy a choisi un square, lieu qui évoque la jeunesse, le repos et les jeux d’enfants…
Vous savez à travers ce blog (courriers en ligne) que Le COLLECTIFDOM a œuvré très rapidement auprès du maire de Montrouge, Jean-Loup Metton, afin que la mémoire de Clarissa soit honorée par un lieu dans sa ville.
Parce que nous trouvions que Clarissa était parmi les victimes, celle dont on parlait le moins médiatiquement.
Que Clarissa symbolisait tellement l’avenir fauché d’une jeune française pleine de vie qui, dans l’exercice de ses fonctions, avait perdu la vie.
Qu’il fallait que les amis et la famille de Clarissa puissent honorer ailleurs que sur un bout de trottoir, la mémoire de leur parente et amie.
Parce qu’elle était « an ti iche matnik »
Parce que nous ne comprenions pas le silence (l’agacement ?) de la mairie.
A coups de courriers, de coups de fil et de rendez-vous : moralité, le maire de Montrouge a invité plusieurs associations pour la commémoration sauf… Le COLLECTIFDOM. Nous ferait-il payer notre témérité ? D’avoir oser briser l’omerta au sujet de Clarissa Jean-Philippe ?
Ce n’est pas grave Jean-Loup, on ne vous en veut pas… et on viendra quand même !
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